Ce premier stage a regroupé 6 cadres (1 EF 1 et 5 EF2) pour 5 jours d’échange, d’apport théorique et de travail collectif et individuel. Chaque journée a été rythmée avec matinée en salle et après-midi sur l’eau autour de la baie de St Jean de Luz. Ces expériences partagées ont permis l’édition d’un contenu qui viendra enrichir le classeur de l’entraineur fédéral FFCK. A noter que l’effectif que l’on peut juger faible proposait une gamme étendue de répartition sur le territoire (Guadeloupe, La Réunion, Tahiti, Bretagne, méditerranée).
Quand on parle de développement, il est indispensable de penser à la formation des cadres. Pour l’océan racing, cette nécessité devient juste vitale dans un contexte général et historique de notre pays pas tourné vers les activités maritimes des sports de pagaie. Pourtant, la France, c’est la première nation mondiale en terme de linéaire côtier et donc, par conséquent le plus beau terrain de jeu pour toutes les glisses salées et humides. Il reste à nous approprier ce terrain de jeu, souvent mal appréhendé par un manque de connaissance. Les formations sont donc un moyen pertinent pour ouvrir tous les cadres à la mer et tenter de décloisonner nos disciplines. Chez nos voisins portugais ou espagnol, tous les compétiteurs de course en ligne passent au cours de leur saison à l’océan racing dans une logique sportive évidente.
Cette formation devra être de nouveau proposée au calendrier fédéral.